En 2012 Derek donne de la voix sur Happy des DJ français de C2C, un gospel électro funk et diabolique aux 20 millions de vues. Dans le Detroit des années 1940 et 1950, décorum de son enfance, le jeune Derek est le septième d’une fratrie de treize enfants élevés au blues.
L’histoire de Derek Martin est imprégnée de mythologie américaine et jalonnée d’icônes de la musique noire. De cette époque fascinante et foisonnante associée à Detroit et la Motown de Berry Gordy, Derek Martin est une éminence grise.

Du milieu des années 1950 à la fin des années 1970, sa voix chaude a raconté une partie de l’histoire de la soul du rhythm’n’blues. De la belle légende de ces années, Derek ne conserve que le meilleur, comme ses collaborations avec Ray Charles, James Brown, Diana Ross, Marvin Gaye, Ike et Tina Turner, les Temptations et tant d’autres.

Dans les années 1970, Derek est devenu lui-même un mythe, une légende dont on disait qu’il était au Canada, au Maroc ou en France. On le disait bouddhiste et sans domicile. Lui continuait simplement de chanter car l’essentiel était intact, à savoir sa conviction d’avoir fait la seule chose pour laquelle il se savait doué.

En 2013, à l’initiative de son amie journaliste Karine Dessale, Derek rencontre le compositeur français Bertrand Bichaud. Tous les trois conçoivent un concept-album, 12 titres qui reviennent sur les évènements les plus marquants de sa vie « Nostalgia ». Un album enregistré mais jamais sorti.
Parmi les titres « Again and again », une chanson que Derek a souhaité en 2020 dédier à George Floyd.

Suite à la diffusion sur les réseaux sociaux du clip, des journalistes radio, télé et de la presse écrite ont partagé leur admiration et leur enthousiasme pour ce retour de Derek au devant de la scène.

Sound design : « La nostalgie de Dieu » de Marc Dubuisson

Mise en scène de Laetitia Grimaldi

sound design : Bertrand Bichaud

Diffusion : Comédie Contrescarpe